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du jeudi 14 mars
- De 9h à 11h -
Pourquoi la tentation parlementaire d'une "simplification" du dialogue social dans les PME est-elle une impasse ?
Alerte à la simplification du dialogue social dans les PME à la lumière du rapport parlementaire égrenant 14 mesures pour simplifier la vie des entreprises, dont celle (entre autre) consistant à passer d'un seuil de 50 à 250 salariés pour qu'un CSE puisse exercer l'ensemble de ses prérogatives, ce qu'il en reste du moins après la "simplification" des ordonnances Macron.
L'ambition des rapporteurs en matière de dialogue social dans les PME se réduit à mettre les seuils du CSE sur la table d'un projet de loi, sans la moindre étude d'impact.
Comme si le dialogue social dans les PME n'existait pas, comme si il pouvait se dérouler en direct avec les salariés sans représentants pour faire remonter les informations...
Une négation du besoin de régulation et une entrave au développement syndical dans les PME.
Or le développement syndical se joue largement dans les PME où l'on retrouve une partie des nouveaux adhérents qui aspirent à voir des CSE qui ne soient pas de simples chambres d'enregistrement.
Dans ce contexte, nous vous proposons un échange croisé entre les responsables syndicaux confédéraux, fédéraux et des élus syndiqués dans des PME. Une bonne occasion de montrer que les instances qui fonctionnent dans les PME ne nuisent pas à leur croissance...Tout au contraire.
Avec les interventions de :
Julien Sportes, président de Tandem Expertise
Hélène Fauvel, secrétaire confédérale FO
Vivien Orleach, secrétaire national Fédération CFDT Métallurgie
Pierre Jardon, conseiller confédéral CFTC
Ingrid Zilo et Nicolas Dupeux, délégué.es syndicaux CFDT chez Optorg
Carmen Firas, élue CFDT chez Numa
Annemie Blanche Henrion, déléguée syndicale FO chez Meribel Alpina
François Reyrolle, délégué syndical CFE-CGC chez Merck Serono